Confiné,il racontait ce qu'il ferait, une fois libre, d'ici un mois,dans ces ZOLA(l).
Ce moment semble si DURAS(2)urmonter ... mais les MOLlERE(3) de la pensée, permettent de s'évader un moment, de laisser fuir ces MAUPASSANT(4).
Près de LA FONTAINE(5) dont les FLAUBERT(6)cent l'oreille distraite, des oiseaux VOLTAIRE(7), herbe et RACINE(8) semblent endormis. Les oiseaux sont là, souveRIMBAUD(9), jeunes encore.
Une tribHUGO(10)guenarde qui BOILEAU(11) et LABE(12)nédiction du soleil qui couvre leur ERNAUX(13)vice. Le raBAUDELAIRE(14) ne les épuise pas; ils n'en font CAMUS(15) par la douceur du jour.
MUSSET(16) le mot, mais sans mouvement; ils se posent, l'arbre VERNE(17) bouge presque pas.
DUMA5(18) naturel, ils regardent au loin, plus ou moins anges, peu ou PROUST(19)atues.
Braves bêtes, la BECKETT(20) les rend grands mais HOUELLEBECQ(21) aujourd'hui ?
Le héros poursuit son chemin rêvé. Les RONSARD(22) DANTE(23) frôlent ses pieds. Il avance, doucement, cherchant une aide, blonde, brune, ROUSSEAU(24) hasard.
Il a BEAUVOIR(25) toute cette splendeur, il ne s’y trompe pas.
Il a BEAUMARCHAIS(26) par l'esprit, il ne bouge en réalité pas.
C’est la force des POE(bonus, il est dur)ètes : se promener sans mouvement, SAND(27) grands efforts.
Voir la VIAN(28) en beau malgré tout, malgré les épreuves.
L'esprit est une GARY (29) passent mille idées qui s'enfuient et nous entraînent.
Toujours l'ARAGON(30)flé cette voile humaine, cette force: tenir bon, jusqu'au prochain voyage