santepublique
- Covid-19,
ce qu'il faut savoir

- Covid-19, se protéger

Vérités ou fake-news? tout et n'importe quoi circule sur l'internet, ces sites se chargent de faire le tri entre le vrai/le faux: conspiracy watch, hoaxbuster et/ou hoax-net. D'autant plus utiles qu'ils ne se limitent pas au COVID-19, mais explorent toutes les infox.
A consulter également (souvent réservés à  leurs abonnés, hélas), les articles "fast-checking", comme ceux des "Décodeurs" du journal Le Monde ou "Checknews" du journal Libération, pour ne citer qu'eux, mais d'autres sources existent dans d'autres médias. (l'émission  C à vous par exemple sur la 5, avec un excellent billet quotidien de Patrick Cohen...).

A consulter avant tout "faire suivre", même si celà vient de parents ou d'amis; nul n'est infaillible.

Tirée de l'épreuve finale du MOOC "Améliorer ses compétences en orthographe", une petite dictée... pour le plaisir (même si très très scolaire!)

Le corrigé se trouve à cette adresse

Avis aux fans de littérature qui s’ennuient durant le confinement, ce jeu devrait vous plaire…
Il consiste à retrouver les 30 noms d’auteurs cachés dans un texte sur le confinement.
Voici le texte dans lequel vous devez chercher les noms :

« Confiné, il racontait ce qu’il ferait, une fois libre, d’ici un mois, dans ces eaux-là.
Ce moment sensible si dur à surmonter… Mais les mots, lierre de la pensée, permettent de s’évader un moment, de laisser fuir ces maux passants.
Près de la fontaine dont les flots bercent l’oreille distraite, des oiseaux volent, terre, herbe et racines endormis. Les oiseaux sont là, souverains, beaux, jeunes encore.
Une tribu goguenarde qui boit l’eau et la bénédiction du soleil qui couvre leur air novice.
Le rabot de l’air ne les épuise pas : ils n’en font cas, mus par la douceur du jour.
Mus, c’est le mot, mais sans mouvement : ils se posent l’arbre vert ne bouge presque pas.
Du mât naturel, ils regardent au loin, plus ou moins anges, peu ou prou statues.
Braves bêtes, la becquée te les rend grands mais où est le bec aujourd’hui.
Le héros poursuit son chemin rêvé. Les ronces ardentes frôlent ses pieds.
Il avance, doucement, cherchant une aide, blonde, brune, rousse, au hasard.
Il a beau voir toute cette splendeur, il ne s’y trompe pas.
Il a beau marcher par l’esprit, il ne bouge en réalité pas.
C’est la force des poètes : se promener sans mouvement, sans de grands efforts.
Voir la vie en beau malgré tout, malgré les épreuves.
L’esprit est une gare : y passent mille idées qui s’enfuient et nous entraînent.
Toujours l’art a gonflé cette voile humaine, cette force : tenir bon, jusqu’au prochain voyage. »

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